Et donc voici le LIEN VERS MON ARTICLE,
plusieurs fois différé et repris, fin janvier, pour intégrer l’actu galopante
du Blitzkrieg médiatique bowien :
MAKING OF :
Merci à Emma de m’avoir
éclairé sur la signification du titre et la pochette du dernier Bowie. Puisque We Can Be Heroes juste une journée,
m’a-t-elle rappelé, eh ben The Next Day
on se retrouve comme des cons.
Aussi lorsque, après le
succès PLANÉTAIRE de mon roman Valeursajoutées, j’ai entrepris, à l’été 2012, d’écrire sur Bowie, mon état
d’esprit était-il celui qui, d’après l’intéressé, présida à la création Low : “Let’s just pull down the blinds and fuck
‘em all…” Comment prévoir que
seulement quelques mois plus tard, l’univers entier allait se jeter sur mon
« sujet d’étude » à la manière d’une harde de zombies affamés ?
Cette semaine Bowie et son
retour surprise sont dans le Figaro Madame. C’est dire. L’album The Next Day est sorti le 11 mars. Mais le top-départ de ce revival
inattendu avait été donné dès novembre, avec l’annonce de l’expo David Bowie Is
au Victoria & Albert Museum. Immédiatement, ou presque, je me suis vu
offrir l’opportunité d’écrire un papier sur cet événement follement
événementiel, pour un site animé par le docteur es hype Thierry Théolier et dépendant de Chronic’art.
"Et voilà", en français dans le texte...
Incidemment, l’expo débute ce
samedi, 23 mars.
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